Crainios est un poète bedonnant et à la calvitie avancée.
Rongé par la solitude et un amour qu’il tarde à trouver, il déclame maladroitement des poèmes et des textes qui sont parfois humoristiques mais aussi trash… Il est accompagné de son amie d'enfance et confidente auprès de laquelle il cherche conseil.
Bref ses textes ça craint ! d’où le surnom de Crainios qui lui a été donné par ses amis.
Le spectacle est constitué de 17 scénettes et dure de 45 à 60 minutes.
Quelques commentaires :
- "Merci Francois et Laurence pour ce bon moment. Un texte où l humour, la fantaisie, la dérision et la tendresse se sont mêlés. J'ai adoré la chute !"
[Pierrelune BP]
- "Un spectacle très dynamique, très attachant avec un côté café-concert qu'aurait certainement adoré J.C Averty. Mais qui se souvient de J.C Averty ? Et qui souvient encore en cette veillée d'armes, de la tradition des caf-cons, de son impertinence, de son indulgence à sourire de la bêtise, et de son parti-pris à rire de la morosité même en pleine tempête..."
[Claude Seintignan]
- Dans un univers métaphysiquement quantique devenu aussi fou que le nôtre, comment évolue un petit cœur sensible ?
C'est ce à quoi le spectacle de François Milhiet invite : à une réflexion sur le développement du Sens Masculin, au travers d'un dialogue ouvert entre deux êtres que le Destin a programmé à la rencontre avec le Monde.
Un regard tendre sur la condition masculine qui ne veut pas rester sur le statu quo et qui cherche un nivellement par le haut par la synthèse du passé avec l'appréciation du présent, dans un langage aussi fleuri que le jardin d'Eden parfois! mais toujours dans la poésie.
Au final pour suggérer subtilement et avec plaisance que l'Espérance est la force des humbles, et que Pandore est une amie en qui la foi de s'inscrire dans les étoiles est inébranlable, puisque la transgression est le moteur de l'Humanité.
Le ridicule ne tue pas, ce qui ne tue pas rend plus fort, le ridicule rend donc plus fort... Et c'est sur cet axiome que Crainios déplie la pensée de l'audience en cinq dimensions.
[Henri d'Estrées Saint-Denis]
- Une grande présence sur scène de François et ne pas oublier la voix de Laurence pleine de nuance.
[Christian Malaplate]